Combinaison : indispensable !

Pour la plage ou la campagne, courte ou longue, à manches ou à dos nu, boutonnée ou zippée, choisissez la votre !

Ca swingue à Riom

Retour aux années 50 proposé par le Soubrany en ce week-end automnal

Les filles sont habillées en Emmy.

De gauche à droite : robe Swing à motif cerises et robe Glamorama noire, toutes deux portées avec un jupon gonflant – Robe Conférence vert émeraude – Sweet top vert à pois et jupe Swing bleu ciel portée sur une combinaison-jupon.

Les garçons sont en uniforme d’époque

La magnifique Pontiac turquoise a été mise à disposition par l’Indian Saloon.

Nuances de vert  et décolletés profonds pour mettre en valeur aussi bien brunes que blondes.

Les tenues sont prêtées par la boutique Mi Ange Mi d’Eon.

Incontournable jupe-crayon

Joan (à droite) en sweater et jupe-crayon : la secrétaire façon Mad MenMarilyn en jupe-crayon dans le film Niagara (1953)Marlène dans Les petits meurtres d'Agatha Christie

On le sait, depuis plusieurs saisons la jupe-crayon fait son retour. La série Mad Men, en mettant un sérieux coup de projecteur sur les années 50 à 70, n’est sûrement pas étrangère au fait.

Mais d’où vient donc cette jupe-crayon si typique ?

Elle a pour origine la jupe entravée elle-même inspirée des kimonos qui obligent à marcher à petits pas.

Quand elle fait son apparition en Occident dans les années 20, on assiste alors au remplacement de l’inconfortable corset par un autre vêtement presque aussi contraignant : merci M. Poiret !

Après le rationnement de la 2e guerre mondiale puis l’exubérance des jupes parapluie et leurs métrages de tissus impressionnants,  Christian Dior lance son « New Look » version 2 et relance la jupe-crayon, vêtement sculpté sur le corps féminin. La jupe a notablement raccourci et se porte juste au-dessous du genou.

Heureusement, la chimie et le latex aidant, l’inconfort de la jupe-crayon n’est aujourd’hui qu’un souvenir. On ne garde que le côté sexy, augmenté par la fente dans le bas de la jupe.

Celle-ci est loin d’être anecdotique ; elle donne, au contraire, à la fois charme et confort à la jupe-crayon. Sans fente, impossible de monter des escaliers (preuve à l’appui : Zahia chez Versace à Paris le 7 juillet 2014) ou de marcher autrement que façon geisha. D’après les tests de Laurence Bareil, la reine du shopping, 20 cm sont impératifs.

Ci-dessous, le modèle de base des collections Emmy décliné en différents tissus et différentes couleurs. La particularité : un jeu de fronces sur les côtés pour masquer les rondeurs en surplus. A porter impérativement avec des talons hauts pour allonger la silhouette !

.jupe-crayon emmy en twill marinejupe-crayon emmy en bengaline bleu porcelainejupe-crayon emmy en satin rose bonbonjupe-crayon Emmy en bengaline noire motif écailles en fil or métalisé

Vous pouvez découvrir plus de détails sur les articles qui ont inspiré ce post :
 

 

Il court, il court le short de l’été

Un même short, deux styles

Elisa a choisi un short rose bonbon Emmy.

Elle l’associe, suivant l’occasion, à un top style lingerie pour profiter du soleil ou à une veste à manches courtes et botillons dentelle pour une cérémonie.

Axelle porte un short jaune dont elle adore les poches en forme de coeur. A la plage, elle l’associe à un top dos-nu avec un joli noeud sur le devant. Dès qu’il fait plus frais, le polo rayé marin en maille douce a la préférence d’Elisa.

Cache-coeur ou portefeuille, à vous de choisir

La robe enroulée, aussi appelée robe portefeuille ou robe cache-coeur, est composée d’un haut en forme de cache-coeur monté sur une jupe à pans croisés sur le devant.

Sa version la plus ancienne date de la seconde guerre mondiale. Elle est portée dans les usines car elle s’adapte facilement aux différentes morphologies des ouvrières.

On trouve de nombreux patrons de couture pendant la période de la seconde guerre mondiale et après-guerre. A droite, un patron McCall des années 40 avec des variations de longueur et de manches, courtes ou longues.

 

On retrouve la robe-portefeuille dans les années 50 avec l’ampleur caractéristique de cette époque. A gauche, un modèle de la styliste américaine Vera Maxwell.pour Practical American.

Dans les années 60, Gérard Lanvin la modernise : elle adopte une forme en trapèze et se porte au-dessus du genou, en journée aussi bien que dans les cocktails habillés. Photo de droite.

La grande heure de la robe-portefeuille sonne dans les années 70 avec la créatrice Diane von Furstenberg qui en fera son modèle emblématique. Elle lui doit son premier succès en 1972. Selon la légende, elle lui aurait été inspirée par l’association d’un cache-coeur de danseuse avec une jupe, bien avant l’avènement d’Internet et du copier-coller. En tout cas, bravo pour le marketing !

Elle nous revient aujourd’hui dans sa forme originale réalisée par Emmy dans des cotonnades fleuries faites pour durer et des coupes impécables.

Journée Tendance à Riom

Un peu d’animation dans les rues de Riom avec l’arrivée en side-cars pétaradants

Les trois mannequins habillés en Emmy par Mi Ange Mi d’Eon sont coiffés par In Fine, le tout dans le style des années 30-40.

Petits pas sautillants sur In the mood (n° 1 pendant 13 semaines en 1940… et c’était quelque chose !) dans la version rock de Brian Setzer.

Christèle porte une combinaison rouge à pois, Marianne un corsaire et un haut à motif cerises, Alison un combishort  à fleurs.

Petite pantomime par nos sailorettes au pied agile sur l’air de Boogie Woogie Bugle Boy (nominée aux oscars de la meilleure chanson en 1941) dans une interprétation de Katy Perry, Keri Hilson et Jennifer Nettles.

Christèle porte une jupe rouge avec un chemisier à col claudine, Alison une robe Sailorette bleu ciel et Marianne un ensemble robe et veste rose bonbon.

 

Prêtes pour le bal, nos belles virevoltent sur la rythmique plus rock que valse de La vie en rose chantée par Zaz (et enregistrée par Piaf en 1946).

Alison est en robe couleur corail, Christèle en Célébration turquoise, Marianne en Glamorama à fleurs roses ; toutes portent un jupon gonflant pour accentuer le look années 50.

Merci à Céline, grande organisatrice de cette journée, à Alison, Christèle et Marianne, nos mannequins au swing irrésistible, à leurs chevaliers à moto et enfin à Thérèse et Pascal, la première pour son idée inspirée et le second pour sa participation au duo éphémère formé avec Christèle.

De la couleur et de l’éclat pour vos cérémonies

Disponibles à la boutique de Riom, la nouvelle gamme de robes pour vos cocktails, soirées et cérémonies.

Réalisées dans des tissus souples et chatoyants, elles vous apporteront ce petit quelque chose de plus qui vous rendra éblouissante avec bon goût et simplicité. Un joli collier, une fleur fraîche dans les cheveux et le tour est joué !

  • Honolulu, robe-bustier à bretelles tour-de-cou amovibles, à porter avec ou sans jupon. En blanc, pour une robe de mariée ou en bleu turquoise.
  • Bomba, ensemble robe et son boléro assorti
  • Honey, robe-bustier à jupe droite avec un pan ouvert sur le devant

Belle pour les fêtes

Misez sur la simplicité des formes et la qualité des matières

Incontournable de la mode rétro : le crêpe

     

Papilles ou pupilles

Attention ! Même si les modèles présentés sont « à croquer », il faudra vous contenter de les dévorer des yeux. En effet, il y a crêpe et crêpe.

L’une se déguste sautée et dorée à point, fourrée ou flambée telle la célèbre crêpe Suzette et se doit d’être consommée avec modération, l’autre est un tissu qui peut être de soie mais pas de soie dévorée.

Caractérisé par son aspect granuleux dû à la forte torsion des fils, le crêpe se prête à merveille à la confection de robes légères et fluides. Qu’il soit de soie, de laine, coton ou encore, comme chez Emmy, de polyester, le tissu de crêpe est souple et nerveux.

Crêpe de chine, crêpe satin au revers soyeux ou crêpe Georgette vaporeux, la confection féminine l’a adopté pour ses robes de jour ou de soirée, sa lingerie, ses foulards.

Le crêpe au féminin

Accessoire indispensable des enterrements jusqu’au 20e siècle, il serait fort dommage de réserver le crêpe noir.

Avec son col Claudine et ses petites manches bouffantes, la jolie robe ci-contre, dans le plus pur style des années 40, se porte en toute occasion.

Son joli décolleté, sa forme évasée et ses couleurs fortes en feront votre préférée pour vos sorties danse en toute simplicité. Cette robe Lindy doit son nom à la danse jazz du même nom très en vogue dans les années 30.

Quant à cette robe magenta, constitué d’un haut de forme bustier agrémenté de dentelle crème et d’une jupe volantée, elle est parfaite pour les cocktails ou vos sorties un peu plus « habillées ».

Modèle : Miss Lala, photographiée par Eric à Vichy.

Sources :